Qui aurait cru que près d’un an après le dépôt de nos demandes syndicales, en octobre 2019, nous serions dans une telle situation de pandémie? Depuis mars dernier, nous, les profs, avons continué de travailler dans des conditions qui se sont détériorées, et ce, malgré un discours méprisant porté par certains, qui continuent de profiter de la crise pour entretenir des préjugés à notre endroit. Même si la partie patronale a entamé certains mouvements, les offres gouvernementales sont nettement insuffisantes.
L’analyse de la conjoncture nous a amené à nous adapter à la réalité de négociation que nous vivons. En s’appuyant sur nos demandes d’octobre 2019, le Conseil fédératif de négociation des 15 et 16 octobre derniers a convenu d’identifier des priorités de négociation.